Vous trouverez ici une étude de Eric Martin et Simon Tremblay-Pepin de l’IRIS. Selon ce qu’on entend tous les jours, les universités du Québec seraient cruellement sous-financées, ce qui les empêcherait d’offrir une éducation de qualité et de participer activement à l’économie québécoise. Pas d’autre choix, dit-on, que de hausser les frais de scolarité. De toute façon, un·e universitaire gagnera un plus haut salaire à la fin de ses études : en s’endettant, il ou elle fait donc un investissement rentable dans son capital humain. Voilà ce que l’on entend. Qu’en est-il vraiment??

8 MARS 2025 – Communiqué du SÉTUE
LE 8 MARS : UN JOUR DE LA RÉVOLUTION ! Depuis le début du […]